Les traitements à l'école
Publié : sam. 26 nov. 2011 22:56
La maladie de notre fille s'est déclarée à l'entrée en CP. Une fois passée la découverte des traitements nécessaires, il a fallu passer à leur application à l'école !
Au début, la gardienne a été très compréhensive et a accepté de mettre les gouttes, plusieurs fois par jour. Puis pour une raison que l'on ignore, cela n'a plus été le cas (opposition de la directrice peut-être ?). Nous avons tenté le PAI (Projet d'Accueil Individualisé) mais le temps que l'ordonnance arrive, il fallait changer le traitement (les consultations étaient alors très fréquentes) donc pas le temps d'en faire un.
Devant le peu de coopération de l'équipe enseignante, nous avons du imposer la visite d'une infirmière privée (plus d'infirmière scolaire à 100 % dans l'école). Nous avons failli en venir à écrire à l'inspection académique. Comme l'uvéite n'a pas vraiment de symptômes visibles, c'est comme si les gens prenaient ça pour du chiqué. On a beau leur expliquer la maladie, rien n'y fait, ce ne sont que des gouttes donc ça ne doit pas être bien grave...
Malgré la possibilité du PAI (qui est sous la responsabilité du directeur d'établissement, chose qui n'était pas pour plaire à la directrice apparemment), nous avons préféré en rester au statu quo. Nous avions peur qu'avec une escalade administrative, ce soit notre fille qui en subisse les conséquences ensuite.
Aujourd'hui les choses bougent un peu, il y a le livret des maladies rares qui a été envoyé aux adhérents cette année qui regroupe de nombreuses informations, il y a également des publications faites par l'association Sparadrap ainsi un kit de l'Association Maladie Rares (mai 2011) pour les enseignants (un numéro du Petit Quotidien avait été consacré au sujet, ce magazine est souvent utilisé comme support en classe). Espérons que ça facilite la compréhension avec les équipes éducatives.
Au début, la gardienne a été très compréhensive et a accepté de mettre les gouttes, plusieurs fois par jour. Puis pour une raison que l'on ignore, cela n'a plus été le cas (opposition de la directrice peut-être ?). Nous avons tenté le PAI (Projet d'Accueil Individualisé) mais le temps que l'ordonnance arrive, il fallait changer le traitement (les consultations étaient alors très fréquentes) donc pas le temps d'en faire un.
Devant le peu de coopération de l'équipe enseignante, nous avons du imposer la visite d'une infirmière privée (plus d'infirmière scolaire à 100 % dans l'école). Nous avons failli en venir à écrire à l'inspection académique. Comme l'uvéite n'a pas vraiment de symptômes visibles, c'est comme si les gens prenaient ça pour du chiqué. On a beau leur expliquer la maladie, rien n'y fait, ce ne sont que des gouttes donc ça ne doit pas être bien grave...
Malgré la possibilité du PAI (qui est sous la responsabilité du directeur d'établissement, chose qui n'était pas pour plaire à la directrice apparemment), nous avons préféré en rester au statu quo. Nous avions peur qu'avec une escalade administrative, ce soit notre fille qui en subisse les conséquences ensuite.
Aujourd'hui les choses bougent un peu, il y a le livret des maladies rares qui a été envoyé aux adhérents cette année qui regroupe de nombreuses informations, il y a également des publications faites par l'association Sparadrap ainsi un kit de l'Association Maladie Rares (mai 2011) pour les enseignants (un numéro du Petit Quotidien avait été consacré au sujet, ce magazine est souvent utilisé comme support en classe). Espérons que ça facilite la compréhension avec les équipes éducatives.